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Jude Law - Page 2

  • L'imaginarium du Docteur Parnassus

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    Pour le Docteur Parnassus (Christopher Plummer) et sa troupe itinérante, le succès n'est pas vraiment au rendez-vous. Leur spectacle provoque plus moqueries que fascination et pourtant il y a un miroir magique qui permet à celui qui y pénètre d'entrer de plain-pied dans un merveilleux monde imaginaire. Au cours de leur route, ils viennent en aide à Tony (Heath Ledger) qu'ils ont trouvé sous un pont la corde au cou. Par miracle, celui-ci est sauvé mais semble avoir perdu la mémoire jusqu'à en oublier son propre nom. Alors que Tony est recueilli par la troupe, le Docteur Parnassus lui se montre inquiet car sa fille Valentina (Lily Cole) fêtera prochainement ses 16 ans rappelant une vieille promesse.

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    Aller voir un film de Terry Gilliam ; c'est vivre une expérience unique au cinéma, presque indescriptible et il faut avoir l'esprit bien ouvert pour se plonger dans L'imaginarium du Docteur Parnassus. Le spectateur est invité à se plonger dans l'imagination fertile des personnages qui nous conduisent au sein de mondes hauts en couleurs. Dommage que le film tarde autant à nous révéler sa folie rendant la première partie assez monotone. On retiendra donc essentiellement de ce film la dernière apparition à l'écran d'Heath Ledger décédé durant le tournage. Par un simple détour scénaristique, il est ainsi remplacé au pied levé par rien moins que Johnny Depp, Jude Law & Colin Farrell.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais parier avec le diable, il vous fera vivre l'enfer !

  • Le limier

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    Sir Andrew Wyke (Michael Caine) est un grand écrivain dont le succès n’est plus à démontrer, un maitre du polar policier à l’imagination débordante. Quand il apprend que sa femme a un amant, il invite ce dernier à venir à sa rencontre non sans arrière-pensée. Dès que Milo Tindle (Jude Law) pénètre dans sa propriété, il ignore qu’il est entré dans le piège d’un jeu sordide planifié dans ses moindres détails. C’est à la demande de la femme d’Andrew que Milo est venu le voir afin de le convaincre de prononcer le divorce et pouvoir ainsi profiter pleinement de leur relation. De façon étrange, l’écrivain accepte la demande à la condition que Milo se plie à une demande des plus particulières.

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    Kenneth Granagh signe un film pour le moins déroutant reposant exclusivement sur le jeu d’acteur de Michael Caine & Jude Law. Remake du film du même nom, Le limier ne dévoile ses atouts qu’après la demi-heure où l’on comprend enfin les motivations de l’écrivain et surtout le coup d’éclat provoqué par un 3ème fanfaron. Hormis cela, le film s’endort un peu sur ses lauriers faisant place à un dialogue entre ces 2 personnages. Le spectateur est un peu délaissé et tente avant tout de percer le vrai du faux dans les discours de chacun enfin si vous parvenez à rester éveillé.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais mettre au défi un coiffeur.

  • Closer, entre adultes consentants

    Cela aurait pu tourner à la tragédie quand Alice (Natalie Portman) s’est faite renversé par une voiture. Fort heureusement, il y a eu plus de peur que de mal et la jeune femme s’en tire avec quelques égratignures et pour veiller sur elle, Dan (Jude Law) est resté à ses cotés ; un coup de foudre semble s’être abattu sur nos 2 tourtereaux. C’est le début d’une belle relation qui aurait pu se poursuivre si Dan n’avait pas croisé la route d’Anna (Julia Roberts), il ne peut réfréner son désir de revoir celle-ci. Alice comprend très vite qu’il se passe quelque chose entre ces 2 là car leurs sentiments transpirent littéralement mais il ne faut pas oublier Larry (Clive Owen), le compagnon d’Anna.

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    Drame sentimental au quatuor prestigieux mais au final, Closer, entre adultes consentants est un film que l’on oubliera bien vite car ne proposant rien de vraiment marquant. Le scénario est plutôt basique mais le réalisateur Mike Nichols bouscule la cohérence temporelle pour définir les relations amoureuses et leurs incommensurables complexités. Principe déconcertant qui permet un léger regain d’intérêt pour un film qui ferait le bonheur des insomniaques. Beaucoup de bruit à sa sortie pour la participation de Natalie Portman à qui l’on reconnaissait son premier rôle de femme pour celle qui fut la révélation de Léon.

  • My Blueberry nights

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    Derrière son comptoir, notre pote Jeremy (Jude Law) en a vu défiler des gens et aussi vu de nombreuses histoires de cœur se terminer (il n’y a qu’à voir sa collection de clés !). Quand Elizabeth (Norah Jones) vient chercher son petit ami, il se dit qu’il va encore être le témoin d’une nouvelle rupture mais ce sera aussi le commencement d’une belle histoire d’amour. Les soirées passent et Elizabeth vient chaque soir dévorer une part de tarte aux myrtilles, une habitude agréable s’installe entre eux mais tout bascule. Du jour au lendemain, elle décide de prendre la route et tout laisser derrière elle au plus grand désespoir de Jeremy tout en gardant le contact.

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    Le génie de Wong Kar Wai a traversé les frontières et a séduit notamment les américains lui permettant de nous offrir son premier film en terre américaine. Toujours aussi soigneux dans sa réalisation, l’histoire est davantage centrée sur le personnage d’Elizabeth que sur le couple qu’elle forme avec Jude Law. My Blueberry nights s’apparente plus à une sorte de road-movie aux accents romantiques qu’à une véritable romance entre les 2 protagonistes. Première participation sur le grand écran pour la chanteuse Norah Jones qui s’en tire avec les honneurs en nous offrant une scène de baiser des plus romantiques. Un bon petit film mais ce n’est pas non plus le chef d’œuvre que l’on nous avait promis.

     

    Il faut le voir pour : Prendre de la tarte aux myrtilles en dessert.

  • Les fous du roi

     

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    Notre pote Willie Stark (Sean Penn) aurait pu être un trésorier parmi tant d’autres dans l’état de Louisiane mais son destin sera plus prestigieux. On fait appel à lui pour se porter candidat à l’élection de gouverneur mais il comprend assez vite qu’en fait il n’a été qu’un pion que l’on a manipulé pour diluer l’électorat. La majeure partie des voix est aux mains de ceux qu’il appelle les ¨Culs Terreux¨ bien qu’il ne se cache pas en être un lui-même. C’est cette proximité qui va faire basculer les votes et il arrive rapidement à capter l’attention des électeurs. Son ascension ne fait que commencer sous les yeux du journaliste Jack Burden (Jude Law) qui aura un rôle précieux.

     

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    Si vous n’avez pas encore eu votre dose de politique en cette période post-présidentielle ; vous pouvez toujours vous offrir une séance avec Les fous du roi. On y suit l’ascension d’un homme au poste de gouverneur mais c’est surtout le parcours d’un de ses hommes de main qui sera développé dans une seconde partie. Le personnage de Jack prend plus d’ampleur, travaillant dans l’ombre de son supérieur et dévoilant tous les enjeux qui se cachent dans l’accession au pouvoir. C’est pas mal mais pas exceptionnel non plus pour ce remake qui se démarque surtout par les présences de Jude Law, Sean Penn, Anthony Hopkins & Kate Winslet.

  • The Holiday

     

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    Ah l’amour, il n’y a rien de plus compliqué ! Cela, notre pote Iris (Kate Winslet) l’a bien compris, elle qui est amoureuse d’un de ses collègues depuis plus de 3 ans mais elle se heurte à un amour à sens unique. Pendant ce temps, à Los Angeles ; Amanda (Cameron Diaz) n’est guère plus heureuse puisqu’elle vient de rompre sans verser une larme. Nos 2 héroïnes ont donc besoin de repos et c’est sur Internet qu’elles vont faire connaissance en échangeant leurs maisons respectives durant les prochaines vacances d’hiver !

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    Avant même d’aller voir le film, j’avais déjà quelques à-priori qui se sont vite envolés. Moi qui pensait avoir quelque chose une histoire à l’eau de rose je dois dire que The Holiday est une comédie romantique réussie. Avec des comédiennes aussi charmantes, un humour qui fait mouche et 2 histoires en un ; on se laisse facilement séduire aidé en plus de cela par l’ambiance festive de fin d’année. Voici donc le film idéal pour une sortie en couples d’autant plus que la présence de Jude Law risque d’attirer des spectatrices

     

    Il faut le voir pour : Croire encore que l’amour nous attend quelque part.